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Schnauzer

Le 3 février 2014 PAR Anva - 4 (245 votes)

Caractéristiques du Schnauzer

Adaptabilité3 stars Entente chat4 stars Entretiens3 stars
Affection4 stars Entente chien4 stars Santé1 stars
Appartement3 stars Entente enfant4 stars Besoin sociaux4 stars
Aboiement3 stars Gardien5 stars Premier chien5 stars
Exercice4 stars Intelligence5 stars Joueur5 stars
  • Adaptabilité3 stars
  • Entente chat4 stars
  • Entretiens4 stars
  • Affection4 stars
  • Entente chien4 stars
  • Santé1 stars
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  • Premier chien5 stars
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Origine et histoire du Schnauzer

C'est au XIVèm siècle en Allemagne que remonte l'origine du Schnauzer. A cet époque, les agriculteurs et commerçants tiraient leurs charettes jusqu'au marché pour vendre leurs produits. Ils avaient alors besoin d'un chien polyvalent qui soit suffisamment courageux pour défendre leurs biens et faire fuir l'ennemi mais aussi pas trop grand pour pouvoir tenir dans la charette. Puis, autant mêler la pratique à l'économie, une fois de retour au bercail, l'animal devait également s'occuper des rongeurs et autres vermines qui habitaient leurs écuries, granges et autre lieux. C'est de cette façon que l'histoire du Schnauzer débuta.
Par ailleurs, il est bon de vous informer qu'à ses débuts, le Schnauzer ne portait pas ce nom en guise de race, mais celui de "Pinscher à poil rude". En effet, bien que cela puisse paraître suprenant au premier abord, le Schnauzer est en fait un descendant du Pinsher ou plus précisement, une variété du Pinsher avant d'être considéré comme une race à part entière.

La naissance du Schnauzer

Nombreuses sont les sources qui prouvent la présence du Schnauzer durant le XIVème siècle, mais en ce qui concerne la création même du Schnauzer, là les avis sont plus mitigés. Après de nombreuses discussions, la majorité des cynophiles s'accordent à dire que le premier Schnauzer à été crée en Allemagne, à partir du Pinscher qui fut croisé avec un Caniche allemand noir et un Splitz Loup afin d'y obtenir un poil poivre et sel. Ainsi est né ce qui était appelé autrefois un "Pinscher à poil dur" ou "Griffon d'écurie" ou encore le "Terrier Allemand"(1).

Il n'existe quasiment pas d'écrit permettant de décrire la vie des Schnauzers que nous connaissons avant la moitié du XVIIIèm siècle. En revanche, il se trouve qu'il a été très souvent illustré dans des peintures, aquarelles ou en statue, démontrant par la même occasion sa présence auprès de l'Homme et la fidélité qu'il lui témoignait pour y être représenté.

Ainsi, en Allemagne, une statue du XIVème illustre un Schnauzer accroupi auprès de son maître ( un chasseur). Dans la même période, entre 1471 et 1528, Albrecht Dürer inclu dans plusieurs de ses gravures un chien à l'allure ressemblante au Schnauzer. Certains auteurs supposent par ailleurs que celui-ci devait possédait lui-même un Schnauzer pour le représenter aussi souvent et à des stades de vie différente, allant jusqu'à dire que celui représenté dans sa dernière gravure devait avoir 12 ans...supposition ou réalité ?? Aucune preuve concrête à ce sujet.

Plus tard, en 1620 un autre statue illustre le chien, cette fois avec un veilleurs de nuit. Cette statue est d'ailleurs très largement répandue dans le monde entier pour la beauté artistique de son ensemble. Le chien et son maître sont positionnés en hauteur sur une fontaine à Stuttgart (Allemagne).

statue représentant un schnauzer
Un veilleur de nuit accompagné de son chien, un schnauzer. Pour l'anecdote, la lampe que tiens le gardien a été le premier éclairage électrique de Stuttgart. La fontaine, elle, a été rénové en 1998 et est l'une des rares à être en permanence en état de marche, y compris l'hiver par temps de gel.

Enfin, durant le XVIIèm siècle, on le retrouve dans plusieurs tableaux de peintres connu comme les célèbres artistes Rembrandt et Joshua Reynolds. A cet époque, la taille et la couleur de la robe n'étaient pas vraiment définies. Les griffons d'écuries se ressemblaient tous plus ou moins à quelques centimètres près, leur robe partait du noir au roux-gris en passant par le brun. La seul caractéristique qui permettait de le différencier réellement des autres terriers et griffons était sa mytique moustache. Même la texture du poil n'était pas fixé puisqu'il pouvait être soit lisse soit dur.(2)

tableau de Rembrandt illustrant un schnauzer
Ici dans un tableau de Rembrandt où l'on distingue très bien la présence du Schnauzer

On peut dire que le XVIIème siècle est la période la plus propice au Schnauzer. C'est à ce moment là où il commence à se faire remarquer, notamment pour ses formidables aptitudes à chasser la vermine. Dans son livre, Eug. Gayot va jusqu'à affirmer et conseiller de prendre un schnauzer au lieu d'un chat pour chasser les rats et souris, pretextant que les chats ont tendance à se faire "amis" avec les nuisibles, jusqu'à partager la même nourriture.(3)

Vous l'aurez compris, la fonction principale du Schnauzer consister à débarasser les rats et les souris des écuries, mais ça n'était pourtant pas sa seul tâche. Les palefreniers se souciaient de sélectionner et garder ces chiens possédant un fort penchant prédateur parce qu'ils étaient capable d'exterminer et d'éloigner les nuisibles mais aussi de jouer le rôle de gardien avec une résolution et une constance absolue. De se fait, aucune personne malintentionnée pouvait s'approcher des bâtiments sans déclencher l'alarme des chiens d'écuries. Et si celà s'avérer nécessaire, on pouvait le voir défendre avec un incroyable acharnement tout ce qui leur était confié.

A force de partager la même écurie, le Schnauzer et le cheval ont fini par se lier d'amitié, lien qui incita les conducteurs de diligence à prendre les schnauzers avec eux lors de leur déplacement. Et ce fut une véritable surprise que de remarquer que l'animal s'adaptait avec une extrême facilité à sa nouvelle vie. Il y avait trouvé une nouvelle occupation, celle de protéger les voyageurs en montant la garde tout au long du voyage sans montrer un seul signe de fatigue. Ce qui évidemment joue en sa faveur, il avait une de ces capacités à reconnaître au trait du visage si une personne était malhonnête, faculté qui se perfectionna au fils de génération au point de rendre sa présence indispensable durant ces voyages. Souvent, il prennait les devants, courait quelques mètres devant les voitures tirées par les chevaux pour s'assurer de l'absence de danger et revenait en courant pour prévenir le cas échéant.

Le développement du Schnauzer

En 1878, le club Allemand du Schnauzer est créé mais son standard ne se stabilise que deux ans plus tard.

En 1879, lors du 3èm salon internationnal qui se déroula en Allemagne ( Salon de Hanovre ), trois pinschers à poils dur sont inscrits. A l'issus de ce concours, l'un d'eux, prénommé Schnauzer remporta le prix. Le succès est tel que le nom resta et une première distinction, non officielle, en tant que race se fit. Le chien anonyme que tout le monde appelait "Griffon des écuries" pris désormais le nom de "Pinscher-Schnauzer". A titre informatif, le mot schnauzer n'est bien évidemment pas choisi au hasard puiqu'il vient du terme allemand schnauz qui signifie museau et va de paire avec la petite moustache de notre futur Schnauzer. Bien que l'appelation de Pinscher-Schnauzer était déjà évoqué en 1842 ce n'est qu'à partir de ce moment-là qu'elle se démocratise.

Les effets de mode vont bon train et l'année 1899 est aux petites races. Les hommes avaient besoin d'un chien aux falcultés du Pinscher-Schnauzer standard mais plus petit afin de faciliter sa cohabitation en logement urbain avec l'homme. Pas question de laisser passer un avenir pour le Schnauzer qui est désormais présenté en version miniature et exposé comme une race distincte du Pinscher-Schnauzer Standard. Les cynophiles pensent que pour obtenir un version plus petite du premier Schnauzer les éleveurs se sont appliqués à sélectionner les sujets les plus petit de chaque porté, qu'ils ont accouplé avec des petites races comme l'Affenpinscher et le Splitz Loup afin de réduire sa taille d'origine. Et là aussi ce fut un succès qui s'entendra au délà des portes de l'Allemagne. Désormais notre futur Schnauzer part pour l'Amérique et le Royaume-Unis.

Puis la première guerre mondial éclata. Alors qu'elle fait des ravages aux seins de nombreuses races jusqu'à en faire complètement disparaître, elle apporte au contraire un bénéfice supplémentaire au Schnauzer-Pinscher qui une fois de plus sera utilisé pour ses facultés exceptionnelles. En Allemagne, il sera utilisé comme chien de garde fidèle à ses principales tâches depuis des générations, tandis qu'aux USA, on lui donnera l'objectif de detecté les drogues et bombes, mais aussi de rechercher et sauver les hommes blessé. Une nouvelle carrière qu'il ne gardera pas très longtemps.

Le schnauzer miniature
Le schnauzer miniature est à l'heure actuelle celui qui présente le plus de succès. Notamment en couleur poivre et sel, ainsi que la variété blanche qui est uniquement admise chez les nains.

A la fin de cette première guerre, les militaires rentrèrent chez eux accompagnés de ce nouveau chien. Notre Schnauzer s'installe en France. En 1924, M Slaterry présente 4 miniatures importés des chenils Marienhof, qui seront dans le futur le départ de la lignée des Schnauzers miniatures. En 1926, ils y sont exposé comme une race à part entière. L'année suivante, un schnauzer miniature de Mme Slattery, Moise Taylor remporte le premier prix. Au même moment, dans un autre spectacle, un autre schnauzer miniature , celui de D. Dornbush gagne également son premier prix. Depuis, la popularité du Schnauzer miniature a explosé en Amérique.

Au même moment, on voit apparaît un Schnauzer de grande taille, celui qui sera appelé par la suite le Schnauzer géant. Ses origines restent mystérieuse mais on sait que le Schnauzer standard participa de façon importante à sa création. On suppose qu'il a été developpé en selectionnant les sujets les plus grand de chaque portée accouplé avec un Bouvier (des Flandres ou de Bavière ) ainsi que le Dogue Allemand afin de lui donner une taile plus importante et une tête plus élégante. On attribua à ce dernier la tâche de garde de troupeaux, de défense ou de chien policier. De nos jours le Schnauzer géant est surtout selectionné pour être chien de défense : de nombreux éleveurs et amateurs ont sélectionné des sujet à la musculature de plus en plus harmonieuse et ayant un caractère typique de chien de défense, celui d'être agressif et réflechi.

La popularité du Schnauzer est à son maximum, le 18 juillet 1928 est crée à Paris le Club Français du Pinscher Schnauzer avec pour but celui de protéger et d'encourager l'élevage du Pinscher-Schnauzer à poils dur, de race pur, ainsi que ses deux autres varités le nain et le géant.(4) La mode continue rendre de plus en plus populaire nos amis les Schnauzer qui deviennent prisé pour leur petite tailles au même titre que les pékinois ou les griffons maltais, sans doute à cause de la crise du logement.(5)

Enfin, le pinscher Schnauzer devient définitivement le schnauzer et le 7 mais 1930 le Club Français du Pinscher Schnauzer change son appelation pour devenir le Club Français du Schnauzer.(6) Plus tard, en 1956 seul les robes poivre et sel seront admises.


1 - La vie des animaux illustrée - A. Ménégaux 1903
2 - Le Schnauzer - Jule Audisio - 1989
3 - Les petits quadrupèdes de la maison et des champs- Eug Gayot - 1871
4 - Journal officiel de la république Française. Lois et décrets. Aout 1928
5 - Vogue (Paris) - juin 1929 - G. Beaumont
6 - Journal officiel de la république Française. Lois et décrets. Juin 1930

Caractère du Schnauzer

Il existe trois type de Schnauzer, le moyen, le nain et le géant. Bien que tous soient de la même race et proviennent du même ancêtre, ils se différencient par leur tempérament tout en ayant des aptitudes communes. Au départ, seul le schnauzer moyen était connu, issus du pinscher-schnauzer où griffon d'écurie, avec pour particularité de monter la garde en prévenant et en faisant fuir les personnes malhonnêtes. Au fils des années est arrivé le schnauzer nain, d'abord dans un but pratique vis à vis de sa place dans les logements urbains, puis fort de son succès il est devenu le chien de compagnie par excellence. Enfin, il manquait à l'appelle un chien de défense, et c'est justement ce rôle qu'à pris le Schnauzer géant. Bien que tous les trois ont des fonctions définies différentes, le schnauzer s'avère être un chien polyvalent capable de prendre n'importe quel rôle la mesure de ses capacités morphologiques. Pourtant, il suffit de s'attarder un minimum sur la race pour s'appercevoir qu'il y a des nuances notables dans leur caractère.

Les traits de caractères communs

Dès le début de son existence, le Schnauzer fut selectionné pour ses facultés à chasser la vermine et autres nuisibles des écuries, granges et même dans les habitations. Il est considéré comme un bon gardien allant jusqu'à remplacer le chat à la chasse aux rats et aux souris. Par ailleurs, il n'est pas recommandé de prendre un schnauzer si des lapins, gerbilles, et autres rongeurs font partie intégrante du foyer. Instinctivement, le schnauzer, quelque soit son type, les chassera. En revanche, il s'avère être un très bon chien sociable envers les autres animaux, congénères, chats et en particulier les chevaux avec lequel il a passé tant d'année à dormir à ses côtés (écurie). Bien que la ferme soit son milieu de vie idéale, il s'adaptera parfaitement à n'importe quel type de logement, petit grand, maison ou appartement, avec ou sans jardin, à condition bien entendue de pouvoir pratiquer des exercices quotidiennement.

Le schnauzer est également un chien affecteux, voir même pot de colle tout en ayant des besoins d'indépendance. Il aime passer du temps en compagnie de son maître et peut rester sans problème auprès des enfants avec qui il jouera volontier. En revanche, son attachement se mérite, et il faut apprendre à le respecter et à se faire respecter de lui. C'est pourquoi, le maître devra lui donner une éducation ferme, cohérente et juste. Ferme et cohérente, parce que le Schnauzer est un chien intelligent et réfléchi, il n'obéira pas aveuglement à vos ordres s'il estime qu'elles n'ont pas lieu d'être. Ajoutez à celà une pointe d'obstination et un caractère têtu bien trempé vous aurez un schnauzer ! Son éducation en elle-même n'est pas dur, si le maître s'y connait un minimum, en revanche, pour les personnes qui n'ont jamais eu de chien, il est fortement recommandé de lui fournir une éducation appuyé par des spécialistes de l'éducation, en club ou en privé (éducateur canin) sous peine de rencontrer des difficultés voir des troubles du comportement. En revanche, s'il est décidé, on peut être surpris de constater qu'il apprend et comprend vite ce qu'on lui demande.

Le caractère du Schnauzer nain

Bien qu'il soit considéré comme un chien de compagnie, il ne faut pas s'y fier, le Schnauzer nain est un très bon chien de garde aboyeur. Il restera sur ses gardes et donnera l'alerte en aboyant dès qu'un intrus s'approchera trop près de son habitation. Si cela s'avère nécessaire, il se lancera sans hésitation contre l'individu et défendra sa demeure. En revanche, il parait comme évident qu'il ne pourra pas faire le poids du fait de sa petite taille, son but premier étant de prévenir et de sonner l'alarme, non pas de défendre.

D'un point de vue caractère, le Schnauzer nain est le plus doux des deux autres, plus facile à diriger. Il est également sociable avec les autres animaux et surtout il adore passer du temps avec les enfants. C'est un chien qui aime jouer, il a même plutôt tendance à faire le clown pour s'attirer les regards et amuser la galerie. Et détrompez-vous, ce n'est pas parce qu'il est petit qu'il est fragile. C'est un chien relavitement robuste, très sportif, et infatigable ! Et pour ces raisons, il a besoin, comme ses deux frères, de sortir et d'avoir une activité physique régulière, une activité qui lui permettra de se dépenser. Le schnauzer nain est bourré d'énergie qui faudra apprendre à canaliser par l'intermédiaire de jeux éducatif ou non et d'activité.

Le caractère du Schnauzer moyen

Le schnauzer moyen est celui qui a un caractère plus fort. Il est plus obstiné et têtu que ses frères et il faudra apprendre à le prendre en main le plus rapidement possible. Son éducation sera la base de toute la relation qu'il y aura entre lui et son maître. Mais attention, elle devra être cohérente et juste, sans quoi il ne prendra même pas la peine de vous écouter ! Car ne l'oublions pas, un schnauzer est un chien qui réfléchi et qui agit en conséquence. Ainsi, son maître devra impérativement avoir des bases solides d'éducation canine faute de quoi il le fera tourner en bourique.

A côté de ça, il est le chien de garde par excellence, celui qui pendant des générations a veillé sur sa famille et ses biens. Il sera toujours méfiant, toujours en alerte et gardera l'oeil partout où il sera. Mais ne le visualiser par comme un petit diablotin, car si son côté obstiné et gardien peuvent faire peur, il est aussi très affecteux avec sa famille et quel plaisir de baisser la garde quelques instants pour être chouchouté.

En revanche, le Schnauzer moyen a hérité directement de ses ancêtres avec des instincts bien prononcé. Il est déconseillé d'avoir chez soit des rongeurs qui ne feront pas bonne cohabitation avec le Schnauzer qui ne penser qu'à une seule chose : les chasser de la maison. Sinon, il reste un adorable chien de compagnie, en particulier pour les enfants avec qui il n'y a aucun problème.

En raison de la sélection sur la base de deux couleurs(noir et poivre et sel), il apparait que ses deux variétés se sont légèrement différencier d'un point de vue tempérament au cours des générations. Le schnauzer poivre et sel aurait tendance à être plus fougeux, plus agressif que le noir, qui tout en ayant les mêmes réactions est moins nerveux.

Le caractère du Schnauzer géant

Grâce à ses instincts naturels, le Schnauzer géant reste un gardien incorruptible mais il a surtout été selectionné pour la défense. En dépit de quoi il fera preuve d'agressivité réflechi et ne se contentera pas seulement d'aboyer pour sonner l'alarme. C'est même le contraire puisqu'il va directement agir pour défendre son territoir. Par ailleurs, comparer à ses deux frères, le Schnauzer géant n'est pas un aboyeur, il ne le fera que lorsque cela sera réllement nécessaire.

C'est aussi un chien beaucoup moins nerveux et moins fougeux que les deux autres. Il apparait comme étant plus calme, plus paisible mais attention avec sa musculature impressionnante, s'il se met en action il devient très puissant et aucun obstacle ne peut l'arrêter ! C'est pourquoi, bien qu'il soit un chien naturellement équilibré, il a besoin lui aussi d'avoir une bonne éducation, d'avoir des objectifs fixés afin d'être sur de pouvoir le maîtriser dans n'importe quelle situation. Et pour se faire, son maître ne devra rien lâché et avoir de solide connaissance en matière de langage et d'éducation canin ! A côté de ça, le Schnauzer géant est l'un des chiens les plus réputé dans les écoles de dressage parce qu'il est intelligent et comprend très vite ce qu'on lui demande. Soyez donc juste et cohérent avec lui et installez une bonne relation de confiance mutuelle.

Comme ses frères, il prendra volontier la place de chien de compagnie et se montrera calin avec son maître.

Les maladies du Schnauzer

Le schnauzer est une race de chien relativement robuste et solide. Avec une espérance de vie d'environ 14 ans pour les trois variétés, il ne tombe que très rarement malade. Toutefois on remarque quelques prédispositions à certaines maladies.

Le schnauzer nain a une tendance à l'embonpoint. Il est donc fortement recommandé de suivre scrupuleusement les recommandations en terme de ration. Car rappelons-le, un chien qui souffre d'embonpoint peut déclencher l'apparition de certaines maladies que l'on pourrait facilement éviter. A vous donc d'adapter sa nourriture en fonction de son activité physique et de sa corpulence.

De son côté, le Schnauzer Géant serait plus enclin à attraper la maladie d'Addison plus connu sous le nom d'hypocorticisme. Ce nom babare est provoqué par une anomalie des glandes surrénale qui ne secrèteront plus suffisament de corticoïde. Le chien semble alors complètement abattu, en état de déshydratation accompagné d'une perte d'apétit et souffrant de bradycardie (fréquence cardiaque basse). Quelques fois ces symptômes s'accompagnent de diarrhées et vomissements. Cette maladie peut-être soignée en mettant en place un traitement permettant de pallier au manque de cortisone additionné d'un traitement visant à contrer les symptômes présentés par l'animal (anti-vomitif par exemple). En génaral, plus le diagnotic du traitement sera mis en place tôt, plus grande seront les chances de garder un bon confort de vie.

Enfin, les trois variétés sont prédisposés à des problèmes occulaire (cataracte) ou encore des troubles cutannées, sans oublié la dysplasie de la hanche. Ces maladies ne sont pas spécifique à la race puisque nombreux sont les chiens pouvant y être sujet. Toutefois il est recommandé de surveiller attentivement ces trois points.

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