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Les origines du Carlin

Le 3 février 2014 PAR Anva - 4 (381 votes)
Illustration de l\'origine du-Carlin

Le Carlin fait sans doute partie des races les plus anciennes qui soit. On évoque sa présence entre 61 et 114 après J.C où Pline le Jeune décrit un chien comme "multum in pravo", c'est à dire "Beaucoup de masse dans un tout petit corps", encore utilisé aujourd'hui dans le standard officiel de la race. Techniquement, rien ne prouve qu'à ce moment là il parlait effectivement de notre race. Mais c'est en Chine qu'on retrouve l'origine du chien au travers des différentes dynasties. Les flottes commerciales participeront activement à son exportation sur d'autres territoire tel que l'angleterre, l'Ecosse, l'Allemagne, la France, l'Italie où il sera identifié sous différentes appelations. On constate dès le départ que le Carlin est un chien très respecté et placé sur un pied d'estrade. Statut qui restera très élevé jusqu'au XIXième siècle où la mode le fera basculer au profit du Pékinois, jusqu'à ce que le couple Duc et Duchesse de Windsor lui redonne un peu de valeur avant de retomber dans l'oublie ou plutôt à sa place de chien d'agrément.

Les débuts

Les auteurs s'affrontent sur l'origine exacte de la race et surtout sur ses ancêtres. Car comme on le sait aujourd'hui, l'ensemble des races existantes proviennent toutes du Loup gris(1), mais comment sommes-nous passé du loup à notre Carlin?

Crâne d'un carlin, don de Goubaux. Dim: L 10 x H 8 x P 9cm

Après l'analyse des crânes découvert par Inostranzew dans les terrains néolithiques du lac de Ladoga, Anutchin s'affronte face à Keller sur l'origines de certaines races de chien, entre autre, le Carlin.
Selon Anutchin, il descendrait d'une sous-espèce préhistorique du loup, le Canis Decumanus de Nehring (loup d'Europe) pour devenir un dogue et enfin se transfomer en celui que nous connaissons aujourd'hui. Pour cela, il s'appuie sur le développement des dents :(2)

« Ces derniers se sont modifiés surtout par le faible développement de leurs maxillaires supérieurs. De ceci résulte un rapprochement des dents qui sont ainsi fréquemment placées transversalement, surtout les prémolaires. Les maxillaires supérieurs se raccourcissent dans les différentes races par degrés jusqu'à ce qu'elles atteignent le dernier perfectionnement dans le crâne du bud-dogue ou retombent dans la forme naine chez le carlin dont la boîte crânienne ne forme qu'une boule osseuse sans crête. Un type préhistorique des dogues est ie Canis decumanus de Nehring »

Mais Keller n'est pas d'accord, il imagine une autre hypothèse, qui le fait aussi descendre du loup, notamment le Loup noir du Thibet :(2)

« Keller imagine une hypothèse fort curieuse, mais qui revient au même point de vue ostéologique, puisqu'il fait descendre ces races également d'un loup. Seulement il choisit au lieu d'un loup russe, le Loup noir du Thibet (Canis niger) et en fait directement provenir par simple domestication le Mastiff du Thibet, également noir de couleur. De celui-ci descendent ensuite les autres dogues actuels, les terre-neuve, les chiens de Saint-Bernard et les carlins. Les arguments dont l'auteur se sert pour démontrer la vraisemblance de cette hypothèse sont des gravures de livres, des reliefs assyriens et romains et un crâne trouvé dans une colonie romaine. »

Dans les deux cas, il vient d'un loup (ce qui est confirmé par la génétique aujourd'hui), suivi d'un autre loup ( là c'est le grand mystère) puis d'un dogue (Mastiff du Tibet ou Dogue du Tibet) qui aurait donné notre race. Seulement ces hypothèses font rire certains cynophiles d'aujourd'hui qui s'appuient sur l'idée qu'un Dogue du Tibet ne peut pas se dériver en Carlin, par les simples facteurs que sont la taille, et le poils. Pour ce qui est du poils, on arrive aujourd'hui à faire d'une même race une variété à poils longs, une variétés à poils courts, une variété à poils ras, sans compter que parmis ces variétés on a aussi des différences de couleur de poils. La théorie du passage "impossible du poils long du tibet au poils court de notre chien" ne tiens pas.

Concernant sa taille par rapport à celui du Tibet, il faut savoir qu'il n'a pas toujours été petit comme aujourd'hui. A l'origine, comme le décrit Lockhart il y avait deux variétés:(3)

« Il y a deux sortes de Carlins en Chine. L'une est représentée par un petit chien blanc et noir, à longues jambes, avec yeux proéminents; l'autre par un chien a dos long, à jambes courtes, à long poil fauve, avec yeux proéminents. Tous deux ont la face courte et retroussée du boule-dogue. »

Il n'hésite pas à dire que le chien que nous connaissons aujourd'hui est une dégénération de la race d'origine :

« Le « Chien de manche » est une variété dégénérée du Carlin à longues jambes qu'on a soumis à une diète rigide, et qu'on n'a jamais laissé courir à terre: on le tient , autant qu'on peut sur le dessus d'un poêle, comme dans une étuve, et on ne lui permet pas de courir à terre, parce qu'on suppose qu'il prendrait de la force en prenant contact avec le sol, et pourrait trop grandir. Son ordinaire est très limité et se compose en général de riz bouilli. Il est très sujet à l'inflammation et l'ulcération de la cornée, conséquences d'une nutrition insuffisante. Ce chien est un malheureux dégénéré artificiel, une bête rendue chétive et maladive par la demi-inanition. »

Deux sortes de Carlins, un grand et un petit.
Quoi qu'il en soit, pour un malheureux, si on retrace son parcourt, il a tout de même eu une sacré belle vie. Il fait partie des races de chiens ayant été choyée pendant que d'autres se fatiguaient à trainer leur charette. Melle Juranville en fait d'ailleurs la description parfaite:(4)

« S'il y a des chiens bichons, des carlins et des caniches choyés et caressés, il y a aussi des chiens de peine et de fatigue. On les voit attachés à de petites charrettes et traîner des fardeaux assez lourds. Pour habituer les chiens à traîner ou à porter, on les exerce par degrés. On leur attache, au moyen d'une courroie, une grosse pierre au cou ; puis le maître marche devant, allant à droite, à gauche, faisant des détours, et toujours suivi du chien qui traîne son boulet. C'est ainsi qu'on abuse de l'affection de cet animal dévoué. La coutume barbare dont nous venons de parler — abolie à Paris depuis 1826 seulement — existe encore dans certains pays, et entre autres, en Belgique, où le chien est traité comme une bête de somme. »

Et surtout, dès le départ il a été considéré comme un chien respectable, le modèle. Si certains le trouvait laid, hargneux et stupide, il n'en ai pas moins qu'il a fait sa place au sein de la plus haute aristocratie et à vécu une vie noble pendant près de 3 000 ans !

Le voyage à travers le monde

C'est donc en Chine que la race fait ses débuts. Les documents permettent de remonter jusqu'en 551 avant J.C où Confucius fait mention d'animaux à face plate. Dans les premiers siècles de notre ère, les manuscrits chinois évoquent le Pai c'est à dire un chien suffisament court sur patte et de tête pour passer sous la table. On le retrouve également dans la quatrième génération de l'empereur Han-tchang-ti où le petit fils Han-Ling-Ti ( 168-191 ) fut proclamé empereur. On raconte que pendant son règne, il aurait offert à son Carlin le Chapeau et la Ceinture Officiels de l’Ordre de Chin Hsien signe d'une profonde dévotion.
Une autre anecdote fait parler d'eux pendant le règne de l'empereur MingZong ( 923-936 ) durant la dynastie Thang postérieur. Alors qu'il était en train de jouer aux échecs son chien se serait échappé d'un sac brodé causant tout un bordel qui d'ordinaire aurait été puni. Sauf que comme il s'agissait d'un carlin, notre petit compagnon avait alors tous les droits.

Dans les années 1300, trois type de chiens été très prisé, le Fu Lin ( ancêtre du Pékinois), le Shoku-Ken (ancêtre du Chin Japonais) et enfin le Lo-Sze(low-tsu) ancêtre de notre Carlin moderne (après le tibet?). Les illustrations de Carlin se trouvent principalement dans les dessins stylisés et les anciens parchemins de l'art chinois. Mais il était alors strictement interdit de pratiquer l'élevage de ces chiens destiné uniquement à la haute royauté. Toutes personnes, non membre de la royauté, retrouvé en compagnie de l'un d'eux était exécutée.

Selon l'importance des personnages (prince, mandarins..) les idéogrammes formés par les plis du front exprimaient tantôt la chance, la réussite, tantôt le mot "prince", la fidélité ... Et pour tous ces motifs, il était offert en cadeau de mariage comme porte-bonheur. C'est ainsi qu'il passa à travers les mains de hautes aristocratie. Il gagna l'Europe pour ces mêmes raisons, aidé par les flottes de marchandises de soies.

En 1618 où Roger William raconte l'histoire d'un Carlin répondant au nom de Pompey qui aurait sauvé la vie de son maître, Guillaume 1er, prince d'Orange, en aboyant pour signaler la présence de soldats espagnols venu lui faire la peau. L'histoire se déroule donc entre 1571 et 1573, et après cet acte de bravoure, notre héros devient le chien officiel de la maison d'Orange(5). Cet action propulse le Carlin sur le premier rang et le rend tout de suite l'« objet de convoitise ».

Ce fut ensuite la reine d'Espagne, Isabelle ( 1566 - 1633) qui en reçut un pour son cadeau de mariage. Le lien avec Guillaume 1er est très serré puisque l'histoire raconte que Guillaume 1er était l'initiateur de la révolte des pays-bas espagnoles contre le roi d'Espagne II, fils de Charles Quint, et père de la reine Isabelle. Par ailleurs, la reine apporta le nom de la couleur "isabelle" à la race, lorsqu'elle refusa de changer sa chemise pendant pendant une durée de 3 ans. (pour plus d'info se référé à l'histoire ). Les français se sont inspiré de cette histoire, après avoir imaginé la couleur de sa chemine à la fin des trois ans, pour en donner la couleur de la robe du Carlin.

Notre chien a donc quitté la Chine pour atterir en Espagne dans les années 1500, et c'est grâce à la reine d'Ecosse (Marie Stuart) qu'il fait son entré en Ecosse entre 1542 et 1587. A cet époque, les chiens à tête plate était très à la mode, et la reine pris donc la décision de remplacer tout ses Cavaliers King Charles par des Carlins. Plus tard dans les années 1700, il gagna l'Angleterre par l'intermédiaire de Guillaume III(arrière petit fils de Guillaume I) et son épouse Marie II qui montèrent sur le trône accompagné de carlins au ruban orange, signe d'appartenance à une très grande noblesse. Enfin, durant la même période il rejoignit la Russie avec la princesse Elisabeth 1er et enfin la France sous le règne de Louis XV. (8)

La popularité de la race bat à plein régime. C'est d'ailleurs en arrivant en France, que notre chien prend le nom de Carlin en faisant référence à Carlino, acteur de la comédie Bertizonni, qui joue le rôle d'arlequin avec un masque noir sur le visage(7): « Sa couleur est fauve, avec le masque noir jusqu'aux yeux, rappelant le masque que portait l'arlequin de la comédie italienne, Carlino, d'où lui est venu le nom de Carlin. Plus le fauve est clair et le noir du masque distinctement marqué, plus il est estimé. » C'est aussi la période où le statut du chien noble commence à décroître pour passer à celui de « bibelot vivant »(3) :

« Le bibelot préféré, le bibelot coûteux, inutile, mais adoré, qui, en ce moment, triomphe de tous les autres, c'est le petit chien. On voit aux courses d'automne, ce prince Charmant à quatre pattes, porté sur le bras des plus fières châtelaines. Jamais le caprice féminin n'a élevé si haut ce favori, dont l'empire subsiste depuis plusieurs siècles. Les troubadours, les pages, les chevaliers, les petits-maîtres, les incroyables et les poètes badins, tous ces serviteurs de la beauté ont disparu à jamais. Seul, le petit chien a gardé sa place sur les genoux, sa place près du coeur, son droit au sourire, aux douces paroles et aux caresses. [...] Les carlins firent les délices de la cour de Marie-Antoinette, et les poétiques levrettes furent les confidentes des héroïnes de la Restauration. Aujourd'hui griffons d'Ecosse et minuscules terriers, carlins et bichons trouvent des admiratrices. Mais je vois apparaître depuis quelque temps un seigneur blanc et feu, marchant sur les soies splendides de ses oreilles avec des pattes lilliputiennes. [...]. Cette espèce de chien sans rivale fut autrefois possédée uniquement par les opulents lords de Blenheim. Gardés avec un soin jaloux, les spanish Blenheim étaient offerts en cadeaux princiers.»

La reine Victoria est à l'origine d'un tournant dans la race. Elle aima tellement ce chien qu'elle le clama haut et fort et pris les dispositions nécessaires à son évolution.

C'est ainsi qu'on comprend que la mode de la race en France, ne dure qu'un temps avant d'être détrôner par d'autres chiens. En revanche, en Angleterre il est toujours aussi bien vu, à tel point qu'il est considéré comme un cadeau de luxe et qu'il se vend très très cher. Ce qui confirme Eugène Gayot dans ses propos : (6) « Le carlin a fait son temps en France où on ne le voit plus guère, mais il est encore assez recherché en Angleterre où on le paye, par excentricité sans doute, des sommes folles » C'est par ailleurs grâce à la reine Victoria que sa popularité va reprendre en Angleterre, dès 1870. Elle adorait tellement les carlins que la mode "au chien de salon" à fait son retour.Elle est à l'origine de la coupe des oreilles interdite. Et c'est aussi sous son reigne qu'il sera standardisé par des amateurs de la race qui se sont regroupé pour former un club, rédiger le premier standard et organisé les premières expositions.

Avec ce regain d'affluence pour la race, on commence à entrevoir deux lignées du Carlin, une issue de chien royaux dite Morrison, et l'autre dite Willoughby importé de Russie ou de Hongrie puis travaillé par le couple Sir et Lady Willoughby d'Eresby. Le premier aurait une robe isabelle, tandis que le second était un mélange de noir et café au lait. Ces deux lignées ont fini par fusionner pour former notre carlin d'aujourd'hui.

A la fin du XIX ième siècle, Lady Brassey fut l'une des première à introduire des carlins noirs entraînant ainsi la multiplication des expositions en Angleterre, pendant que son nom tombe dans l'oublie en France et ne sera reconnu qu'en 1886. C'est en grande majorité grâce à l'Angleterre si la race de Carlin que nous connaissons aujourd'hui a pu évolué et être travaillé. A tel point que celle-ci demanda son patronage qu'elle fini par obtenir.

En France, la race sera de nouveau apprécié à partir de 1960, grâce au Duc et à la Duchesse de Windsor qui ne se déplaçaient jamais sans leur trois carlins. Elle connaîtra un nouvel essort à cette période avant de se stabiliser au milieu des autres races d'agréments.

Les traces

Issus de la Chine, la race s'est propagée à l'ensemble des pays grâce à l'exportation de la soie et autres marchandises. Sa popularité a subit des hauts et des bas suivant les périodes de mode, mais il n'a jamais cessé d'exister et d'inspirer le respect et la noblesse et ce malgrè son physique peu avantageux ! D'ailleurs, son parcourts ne s'est pas fait sans laisser de trace puisqu'on retrouve aujourd'hui des parchemins, des status, des peintures, .. On le voit également dans les romans, les comédies, la poesie.

Les demoiselles de Blois et de Nantes, XVII ième siècle. On remarque la présence d'un Carlin de couleur noir ! A cette époque les carlins noir était d'office éliminé. Mais le noir est toujours rester dans les gènes depuis les debuts de la race, permettant ainsi de retrouver à nouveau les carlins entièrement noir à la fin du XIXième siècle où enfin ils ont été autorisé dans le standard!


« The Painter and His Pug » (1745). Autoportrait de William Hogarth avec son chien. William Hogarth est un peintre (et ex graveur) du XVIII siècle qui aimait beaucoup les Carlins ce qui nous as permis de pouvoir retracer le chemin de la race. Il peint ainsi plusieurs toiles avec l'animal: « The rake marrying an old woman » où on y voit un carlin et un autre chien (peut-être un pékinois?), « The Bruiser »repésentant également la race en premier plan avec ours...


Une des plus belle prise du carlin en compagnie de sa maîtresse, la princesse Golitzyna, peint par un artiste Français Louis-Michel Van Loo XVIIIième siècle.


Tableau représentant la marquise de Pontejos avec son carlin, peint par FranCisco Goya au XVIIIième siècle.(9)


Au XVIIIème siècle, les Carlins était tellement populaire que la manufacture de porcelaine de Meissen en réalisa plusieurs modèles. Et ce fut un grand succès. Par ailleurs, l'inventaire du château de Compiègne révèle que la marquise de Pompadour possédait deux carlins en Saxe surélevé de 4 branches en bronze doré.

Les Carlins

Certains carlins sont devenu tellement célébre qu'ils ont gravé leur nom dans l'histoire de la race:

  • Wang To : Le nom de ce chien ressort durant la dynastie Tang, entre 168 et 191. On raconte que ce chien du faite de ses plis sur le front inspiré la sécurité, la fidélité, la réussite...A tel point qu'il devait être gardé à l'abrit des voleurs. Or, un cambrioleur fini par découvrir la cachette du petit chien, et en fut fouetter jusqu'au sang.
  • Pompey : C'était le chien du prince d'Orange, Guillaume I. Des soldats espagnole avait réussi à pénétrer dans l'enceinte du batiment sans éveiller les soupçons des gardes du corps de prince. C'est son carlin qui donna l'alerte en aboyant et en grattant la porte. C'est comme ça que Guillaume I a pu être sauvé d'un assassinat... Mais cela n'empêcha malheureusement pas de l'être quelques années plus tard. En attendant, cette histoire propulsa lea race si haut que tout le monde en voulu un.
  • Mohiloff : sans doute l'histoire la plus émouvante. Duc d'Enghien adoré son chien et l'emmener partout avec lui. Si bien que lorsqu'il fu enlevé sous ordre de Bonaparte dans la nuit du 15 ou 16 aout 1804, l'animal courru derrière la charrette pour rejoindre son maître. Finalement on lui permit de rester avec son chien durant le trajet et l'attente de son jugement ( accusé d'avoir porté les armes et soupçonné de complot ). Le lendemain, le jugement fut rendu et le Duc condamné à la mort. Son cadavre fut jeté dans une fosse à ordure. Mohiloff gratta la terre, et passa plusieurs jours à hurler à la mort, seul, transi par le froid. Les habitants du quartier finissent par demander à ce que le chien soit repris. Il fut hebergé par le Marquis de Bethisy, qui à sa mort, le fit naturalisé. Le peintre Carles Vernet laissa une aquarelle representant Mobilhoff essayant de soulever le pierre qui recouvrait le corps de son maître.

Sources
1:"Pour la Science" janvier 2013
2:"Anthropologie" Paris, 1904
3:"Histoire et Moeurs des animaux", Henri Crosnier, 1904
4:"Voyage au pays des caniches", Melle Clarisse Juranville, 1884
5:"Actions in the Low Countries", Sir Roger William, 1618
6:"Le chien" Eug. Gayot, 1865
7:"Le chien, description des races.."Stonehenge, 1876
8:"Histoire naturelle du chien" Albert Larbalétrier 1907
9: Photo de Frank Kovalchek 10: Photo de Pixelhut

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